La Ville Rio de Janeiro et IBM ont signé une alliance pour transformer à Rivière une ville plus intelligente

La ville intégrera des données et des processus d´organismes publics dans un centre unique d´opérations

La municipalité Rio de Janeiro et BM ont signé un accord pour la construction d´un centre d´administration d´information publique dans la ville de Rio de Janeiro. Le Centre d´Opérations Rio, qui sera située en Cidade Nove, intégrera et interconnectera l´information de divers organismes publics de la commune pour améliorer la sécurité et la capacité de réponse de la ville par rapport à divers types d´incidents, comme inondations et glissements de terrains. L´accord d´IBM et la municipalité de Rio inclut de même des plans pour développer un système pionnier appelé "Prévision Météorologique de Haute Résolution (PMAR)" qui permet de prédire des fortes pluies avec 48 heures d´anticipation.

La mission du Centre d´Opérations Rio, qui sera inaugurée le 31 décembre, sera de consolider l´information de divers systèmes de la commune pour permettre la visualisation, le monitorat et l´analyse en temps réel. Le système a été initialement conçu pour la prévision d´inondations et d´urgences, mais peut être étendu à tout fait qui arrive dans la ville, depuis des incidents dans le Reveillon de la plage de Copacabana, jusqu´à la sortie de fans d´un parti de football dans le Maracaná ou un accident de transit. Le Centre permettra aux dirigeants de la ville de prendre des décisions dans des situations d´urgence, sur la base d´information en temps réel.

L´initiative est encadrée dans la stratégie mondiale d´IBM qui a comme objectif de développer des technologies qui aident aux villes à fonctionner en manière plus intelligente. Des projets semblables ont été déjà implémentées à New York et en Gauteng (Afrique du Sud) ; toutefois, ce c´est le premier centre du monde qui intégrera toutes les étapes de l´administration de crise : depuis la prévision, mitigation et préparation, jusqu´à la réponse immédiate des événements et à la réalimentation du système avec une nouvelle information qui peut être utilisée dans des futurs fortuits. D´autres partenaires qui prennent part á la construction et l´opération du Centre sont Cisco, Cyrela, Facilities, Malwee, Oi et Samsung. L´idée est que le centre évolue continuellement et intègre chaque fois plus des organismes et des sources d´information de la ville. "Nous créons une grande plate-forme de technologie qui en peu de temps réunira tous les incidents et faits qui arrivent dans la ville" a commenté Pedro Almeida, Directeur de Smart Cities d´IBM Brésil.

Le PMAR commencera ses opérations dans le premier semestre de 2011 et sera clef pour le Centre d´Opérations de Rio. Le système se basera dans un modèle mathématique unifié pour la ville de Rio de Janeiro qui inclut le recueil de données du bassin hydrographique, le relief topographique, ce qui est historique de pluies de la commune, et information provenant de satellites et radars, lequel sera capable de pronostiquer l´incidence pluies et possibles inondations. Tant le système comme le modèle mathématique devront être calibrés pour augmenter significativement le taux de succès par rapport à la prévision de pluies dans la ville. Après avoir détecté l´incidence de pluies, le système modèlera des inondations potentielles et, dans une étape postérieure, il sera aussi capable d´évaluer ses effets sur le transit des véhiculés de la ville. Celui-ci sera le premier projet du neuvième laboratoire de recherche mondiale d´IBM, lequel a été récemment inauguré au Brésil

Les 9 et 10 novembre, le Président Global d´IBM, Samuel J. Palmisano et le Maire de Rio de Janeiro, Eduardo Paes ; ont convoqué à des leaders d´opinion et à des experts de tout le monde dans cette ville pour tenir l´IV Forum Régional de Villes Intelligentes. Avec spécial vise en Amérique latine et les marchés en croissance du monde, IBM continuera la conversation entamée à Berlin, New York et Shanghai afin d´examiner la manière par laquelle les villes peuvent faire face aux situations urbaines sérieuses qui sont actuellement éprouvées ainsi qu´améliorer la qualité de vie de leurs citoyens.

Source: one-digital


Forum sur la gouvernance de l´Internet

L´Assemblée générale débattra sur le renouvellement du mandat du Forum sur la gouvernance de l´Internet (IGF), qui a son origine dans le Sommet mondial sur la Société de l´information (SMSI) qui s´est tenue, après un long processus préparatoire dans deux phases, Genève en 2003 et Tunis en 2005. Il convient de noter que le Pays Basque a pris une part active à ce processus que a conduit à la création du réseau international des autorités locales IT4ALL en 2003 et a organisé le deuxième Sommet mondial des Villes et Pouvoirs Locaux sur la Société de l´Information à Bilbao en novembre 2005.

Le SMSI a été convoquée pour discuter des moyens de réduire les inégalités dans l´accès et l´utilisation d´Internet et de surmonter la fracture numérique mondiale. Toutefois, les discussions ont porté sur la manière dont Internet doit être régie et  le contrôle que des Etats-Unis exerçaient sur le système des noms de domaine. Afin de résoudre cette controverse a été créé le Groupe de travail sur la gouvernance d´Internet à la tâche de définir les contours du gouvernement du rapport du réseau Groupe a suggéré une idée novatrice, par rapport à la controverse sur qui devrait diriger l´Internet - gouvernements ou du secteur privé, a proposé de favoriser la communication entre les différents groupes impliqués dans la base de cette réglementation, à savoir la création d´une plate-forme ouverte pour le dialogue politique. Ainsi est né le Forum.

L´IGF a des fonctionnalités innovantes qui le différencient des autres réunions des Nations Unies. Las réunions de l´ONU sont essentiellement intergouvernemental, il y a un ordre d´intervention des représentants des gouvernements et se fait habituellement à partir d´une plate-forme. Dans l´IGF il n´y a pas un ordre établi dans les interventions et tous de participer sur un pied d´égalité. Si un représentant de la société civile lève la main devant un représentant d´un gouvernement intervient avant. C´est parce qu´il suppose que tout le monde a l´égalité des chances pour exprimer leurs points de vue et parce que le but du Forum est de favoriser la discussion entre les différents groupes. Une autre caractéristique importante est que l´IGF est tenu de produire un document final ou précédemment convenu. C´est précisément cette absence d´obligation qui a permis un dialogue politique constructif entre les entreprises, les organisations internationales, société civile et les gouvernements. L´objectif du Forum n´est pas la prise de décisions politiques, mais donner des conseils sur des questions spécifiques de la gouvernance de l´Internet.

En Septembre à Vilnius, en Lituanie, la cinquième réunion de l´IGF sous le thème «Construire l´avenir ensemble." Il y avait environ 1.500 personnes de 107 pays et environ 2.000 personnes dans le monde ont suivi les débats et ateliers sur l´Internet. Ont des problèmes abordés tels que la neutralité du réseau, le cloud computing, réseaux sociaux, l´équilibre entre sécurité et droits dans le contexte des technologies de l´information et des technologies de la communication (TIC), gouvernance de l´Internet pour le développement, la promotion l´accès et la promotion de la diversité linguistique et culturelle pour faire d´Internet un outil plus inclusif.

Bien qu´il soit trop tôt pour procéder à une évaluation approfondie de l´impact du Forum, nous pouvons tirer quelques conclusions intéressantes. La première consiste à soustraire la charge a obtenu conditionné le débat idéologique dans le Sommet mondial pour le contrôle américain sur les noms de domaine. Bien que la demande reste, l´IGF a abordé la question du point de vue plus pragmatique et opérationnelle grâce à l´intégration des points de vue du secteur privé et la société civile, significativement différente de l´approche des gouvernements. Il a également aidé à ne pas avoir à rechercher un consensus sur un texte précis. Les participants ont atteint un niveau de dialogue plus constructif dans la résolution des problèmes qui sont connus à l´avance qu´il ya des opinions divergentes. Ainsi, les discussions du Forum ont gagné en maturité et la confiance entre les parties.

Le mécanisme de l´IGF a également eu un effet multiplicateur. Ces dernières années, nous avons créé des forums dans divers pays et régions dans lesquelles ils abordent les questions de points de vue centrée sur l´Internet besoins locaux et régionaux. Au cours des prochaines années seront témoins de la prolifération de ces forums. À ce point, le renouvellement du mandat du Forum dépend de la résolution adoptée par l´Assemblée générale des Nations Unies. Bien que presque tous les participants ont préconisé la poursuite de l´IGF et le sentiment général est que son mandat devrait être renouvelé, il n´est pas clair dans quelles conditions il sera.

Il ya des préoccupations de certains gouvernements à l´IGF est soumis aux procédures de l´ONU et un meilleur contrôle gouvernementales qui peuvent affecter sa ouverte et participative. L´annonce récente par le Coordonnateur exécutif Markus Kummer, de ne pas rester en fonctions pour un second mandat, a généré de nombreuses incertitudes.

Toutefois, l´un des défis les plus importants de l´IGF pour l´avenir est de rendre visibles leurs travaux à la communauté de l´Internet et à la société internationale.

Source: El Correo


Le Bureau Exécutive approuve la rénovation de la Commission par 3 années de plus

Du 17 au 20 novembre 2010 a eu lieu dans la Ville du Mexique, le III Congrès Mondial de CGLU « Sommet Mondial des Gouvernements Locaux et Régionaux » qu´il a réuni plus de 2.000 Autorités locaux et régionaux de tout le monde.

Un des principaux points à traiter pendant le Bureau Exécutive tenu le 17 novembre, a été la rénovation des mandats des Commissions et Groupes de Travail de CGLU pour la période 2011 à  2013.

En ce sens, après des consultations avec le Groupe Consultatif et avec le Comité d´Affaires Statutaires, la Présidence a proposé au Bureau Exécutive de recommander au Conseil Mondial la rénovation de toutes les Commissions et des Groupes de Travail qui l´ont requis, pour un mandat maximal additionnel et préparer la transition vers la transformation et la réduction des Commissions et des Groupes de Travail. Il est pour cela que la Commission de Villes Numériques et de la Connaissance pourra continuer à travailler 3 autres années pour placer aux gouvernements locaux comme leaders dans les processus d´innovation.

Aussi, en profitant de l´occasion du III Congrès Mondial de CGLU on a convoqué aux membres de la Commission le 17 novembre le matin avant la réunion du Bureau Exécutif, dans le but de débattre de manière non tellement formelle sur le futur de la Commission, en tenant compte de la prochaine rénovation de la Commission.

Pendant la réunion, on a informé aux collaborateurs sur le processus de rénovation de la Commission développé pour le mandat 2011-2013.

Ils se sont présentées les différentes activités effectuées en 2010: Page web de la commission, Forum de la commission, Chaîne TV de la commission, échange de connaissance, recherche de financement, observatoire, etc.

On a discuté les prochaines activités à effectuer, entre elles le Premier  Étude sur la Situation des TIC, l´Innovation et la Connaissance dans les membres de CGLU et de la nécessité de collaborer étroitement avec le Secrétariat Mondial de CGLU, les sections régionales de GLU et surtout avec les Vice-présidences de la Commission pour qu´ils collaborent avec l´obtention d´information de leur région.

Dans les propositions effectuées, on a transmis la nécessité de création des nœuds régionaux de la Commission conduits par les Vice-présidentes qui se chargent de promouvoir le travail de la commission dans les différents secteurs. Ces nœuds serviront de support pour l´obtention d´information pour le Premier Étude sur la situation les TIC, l´Innovation et la Connaissance dans les membres de CGLU.


Des villes utilisent les TIC pour être plus compétitives

Exploiter le potentiel de la technologie pour améliorer les processus administratifs municipaux et renforcer les relations entre l´administration publique et les citoyens sont des principes fondamentaux des « villes numériques ».

Ce concept vise à rendre la technologie comme un moteur pour la croissance.

Selon Francisco Gomez, secrétaire général de l´Association ibéro-américaine des centres de recherche et les entreprises de télécommunications (AHCIET), les villes peuvent utiliser la technologie pour améliorer les processus internes dans leurs institutions et  offrir aux citoyens des services plus nombreux et meilleurs qu´aident à améliorer leurs relations et facilitent leur interaction.

Medellin est un bon exemple de comment la technologie peut contribuer à améliorer la compétitivité et de créer une orientation de la ville.

Cette capitale, grâce à un solide appui du maire, des universités et des entreprises comme Une, a construit un système, où la technologie joue un rôle clé pour se transformer d´une ville purement industrielle à une avec des intérêts importants dans la technologie et de service.

Grace à l´initiative du Conseil de Ville a été créé Medellin Digital, une agence dédiée à la promotion, l´adaptation et la mise en œuvre des mécanismes numériques pour une meilleure utilisation des TIC dans les différentes scènes de Medellin, la vie quotidienne. Eduardo Rojas, directeur de programme, affirme que son principe est d´obtenir les citoyens, les fonctionnaires et les entrepreneurs à utiliser les TIC de manière efficace pour eux d´en tirer profit et d´améliorer ainsi leur qualité de vie. Il ya trois éléments principaux qui déterminent le succès d´une cité numérique: connectivité et d´infrastructure, le développement du contenu et des stratégies d´appropriation. "Les trois éléments doivent coexister simultanément, sinon il est difficile d´établir le concept de ville numérique», a déclaré le fonctionnaire.

Le succès remporté par Medellin dans ce promotions des TIC, a été l´engagement et le travail effectué par les entités de leurs zones d´influence, où elles favorisent la conception d´une stratégie sur l´inclusion, le développement de différentes initiatives pour les entrepreneurs, les étudiants et les personnes âgées.

Les experts disent que l´essentiel est qu´il ya suffisamment de volonté politique des autorités gouvernementales à faciliter ces processus qui aboutissent à des avantages à toute la communauté.

Medellin, sur la route vers le numérique

Dans le cadre de Medellin numérique, il a été réalisé pour amener le plus de 250.000 personnes TIC´sa. Un des principaux avantages a été mis sur l´éducation. Selon Eduardo Rojas, directeur du projet, il a été créé 160 places dans les établissements scolaires de la ville, où ils ont réussi à placer une moyenne de 100 ordinateurs chacune. Grâce à cette initiative, 7.000 enfants et de renforcer leurs connaissances dans l´environnement numérique, par l´apprentissage par Internet.

Source: La República (Colombia)


XI Réunion Ibéro-américaine sur les villes numériques

Á Medellin a eu lieu la XI Réunion Ibéro-américaine sur les villes numériques, avec la participation des délégués de divers pays comme l´Espagne, l´Uruguay, l´Argentine, le Brésil et le Panama, ainsi que des rapporteurs des États-Unis et le Royaume-Uni. 

Le défi que les gouvernements sont confrontés est l´intégration des citoyens dans la vie numérique. Aujourd´hui, le réseau est le « terreau » de la culture et le développement social, tant en termes de fourniture d´informations et comment cela a forgé le comportement personnel et social.

L´éducation est le pilier de la société qui est touchée par cette culture cyber nouveaux, offrant de nouvelles possibilités d´accès au savoir, et change le paradigme de l´enseignement et l´acquisition des connaissances. La lutte entre l´éducation formelle et de nouvelles structures ouvertes est ici et les enseignants doivent être prêts à participer à cette nouvelle orientation académique.

En outre, les services publics sont concernés non seulement les demandes des utilisateurs et la façon de les rencontrer, mais par les nouvelles exigences, par exemple en termes de connectivité, l´expérience des communautés.

Les présentations ont souligné la nécessité de s´adapter à ce nouveau mode de vie et de trouver des moyens de concilier les points de vue des différentes générations afin d´éviter la création de divisions dans la société, non seulement par l´âge mais aussi des différences de pouvoir d´achat ou l´accès aux nouvelles technologies. L´objectif n´est pas la technologie mais les gens, sur l´individu et sa réalisation en tant que tel devrait être l´accent sur la conception de stratégies numériques: le réseau que nous sommes tous.

Des villes comme Medellin et Tulua, la Colombie, Curitiba au Brésil, à Barcelone en Espagne, la province de San Luis, en Argentine et des pays entiers comme le cas de l´Uruguay, ont été soulignés lors de cette réunion sur les progrès réalisés dans les plans d´intégration dans le monde et la distribution de l´accès numérique aux TIC dans toutes les couches sociales.

Source: Computer World Colombia


Les Dirigeants Locaux et Régionaux du Monde s’accordent sur un Manifeste pour la Ville de 2030

A l´issue des trois jours de débats et de réunions du Sommet Mondial des Dirigeants Locaux et Régionaux qui s´est tenu à Mexico du 17 au 20 novembre 2010, les membres de CGLU et leurs partenaires ont envoyé un signal fort à la communauté internationale en concluant un Manifeste pour la Ville de 2030 et en façonnant ainsi les contours de la Ville de demain.

Ce Sommet Mondial des Dirigeants Locaux et Régionaux a également vu la tenue du troisième Congrès de Cités et Gouvernements Locaux Unis et le renouvellement de la présidence et des instances statutaires de l´organisation mondiale. Fondée en 2004, CGLU, entre désormais dans un nouveau cycle, avec l´élection de Kadir Topbas, Maire d´Istanbul, en tant que nouveau Président de l´Organisation mondiale. Cinq co-présidents accompagneront le maire d´Istanbul : Antonio Costa, Maire de Lisbonne, Portugal ; Johnny Araya de San Jose de Costa Rica ; Wan Qingliang de Canton, Chine ; Muchadeyi Masunda de Harare, Zimbabwe ; et Ilsur Metsin de Kasan, Fédération de Russie. Tel Ellis, Maire de Bluffton, Indiana, USA, a été élu Trésorier.

Le Maire Topbas, nouveau Président de CGLU, a par ailleurs exprimé son grand honneur d´être le Président de l´Organisation mondiale. Il a souligné la nature collégiale de l´équipe présidentielle et son engagement à travailler pour l´élargissement de CGLU.

A l´heure où le monde devient de plus en plus urbain, les dirigeants locaux et régionaux du monde ont rappelé que les villes, quelle que soit leur taille, sont toutes confrontées à des défis similaires. Dans le Manifeste pour la Ville de 2030, ils ont établi leur vision de la ville du futur, en insistant tout d´abord sur la nécessité de construire une ville de concert avec les populations qui l´habitent, quels que soient leurs origines, leurs âges et leurs sexes. Une ville qui intègre tous les niveaux de gouvernance pour répondre au plus près aux besoins des citoyens, et qui coopère pleinement avec son environnement métropolitain, régional et rural. Une cité mobile, soucieuse de l´environnement, d´un service public efficace et utilisant les énergies renouvelables ainsi que des technologies non-polluantes.

En sus du Manifeste pour la Ville de 2030, les maires et représentants de villes, régions et d´associations de gouvernements locaux se sont accordés sur une Déclaration finale qui résume 25 recommandations. Celles-ci incluent notamment que toute réduction fiscale doit prendre en compte les pressions et coûts en termes démographiques et graduée dans le temps pour permettre une planification appropriée pour préserver les services essentiels. Les maires et représentants ont également fait valoir leur opposition à la recentralisation, et demandent à maintenir et renforcer des lois efficaces et des politiques favorables à la décentralisation démocratique et à l´autonomie locale.

En matière de changement climatique, les représentants locaux soutiennent avec ferveur le pacte de Mexico et ont appelé les gouvernements nationaux et la communauté internationale à travailler en collaboration avec eux et à prendre des mesures contraignantes plus audacieuses afin de prévenir les dérèglements climatiques.

La Ville de Rabat, capitale du Maroc, a par ailleurs été choisie pour accueillir le prochain congrès mondial de CGLU en 2013.

La Ville de 2030- Notre Manifeste

Recommandations- Sommet Mondial des Dirigeants Locaux et Regionaux