Des maires du monde demandent de financer des villes avec une haute technologie pour 2030

Dans le cadre du troisième Congrès des Cités et Gouvernements Locaux Unis les participants ont indiqué la nécessité d´accélérer de manière globale la lutte contre l´inégalité humaine et les effets du changement climatique.

Des maires et des délégués de plus de 90 nations ont demandé dans la Ville du Mexique un financement global pour que tous les pays construisent pour 2030, nouvelles métropoles « soutenables qui disposent des technologies adéquates qui promeuvent le développement et réduisent les émissions de gaz à effet de serre ».

Dans le cadre du deuxième jour de travail du troisième Congrès Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU), les participants ont indiqué la nécessité d´accélérer de manière globale la lutte contre l´inégalité humaine et les effets du changement climatique dans les métropoles.

Le coprésident de CGLU, le maire de Quito, Augusto Barrera, a exposé devant ses paires qui l´appui et la coopération globale permettra, dans le futur, de faire face à des défis du changement climatique, les crises financières, ainsi que d´améliorer la coexistence entre différents peuples et cultures.

« Nous devons déchiffrer comment diriger nos villes mieux »,  il a considéré Barrera pendant la session plénière, qui a été développée sous la devise « La ville de 2030 ».

Barrera a expliqué qu´on requiert « l´utilisation de la technologie comme un élément clef pour le développement des villes et pour que les infractions d´inégalité sociale soient notamment réduites, ainsi que le développement technologique pour résoudre des problèmes comme le transport, l´approvisionnement d´eau, le changement environnemental ».

Le maire de Ville le Mexique et l´hôte du forum, Marcelo Ebrard, a affirmé que l´actuelle manière dans laquelle on manie les ressources financières au niveau international «  il contribue difficilement à obtenir ce paradigme de développement urbaine ».

Le dirigeant métropolitain a proposé de créer un impôt spécial avec lequel il est obligé aux pays d´apporter des ressources pour compenser les dommages qu´ils causent et il a ajouté qu´au moins « ils se chargent des implications qui ont les décisions et les choses qu´ils faire ».

Le maire d´Istanbul, la Turquie, Kadir Topbas, a coïncidé que les défis à auxquels les villes font face «   sont chaque fois plus grandes ».

Il a dit qu´une façon de confronter les défis est « de faire plus participatif à la citoyenneté et d´inviter aux gouvernements régionaux à être inclusifs. Parce que « si nous ne savons pas vers où nous nous adressons, nous n´arriverons à aucun lieu en 2030 », il a ajouté.

Le conseiller municipal de Culture de Barcelone, Carles Martí, a souligné que dans les villes « ils se sont trouvés des plus grands problèmes de l´actualité »; et il a proposé de créer une plus grande Communauté avec base dans la promotion de la culture comme élément du développement.

Dans le cadre du Troisième Congrès Mondial Cités et Gouvernements Locaux, qui a eu lieu du 18 au 20 novembre on effectuera dans cette même capital le Sommet Climatique Mondial des Maires (CCLIMA), dans la quelle il est prévu qu´il se signe un Accord Climatique Global de Villes, dans lequel les 1.000 mayorats se engageront de manière volontaire à réduire les émissions à l´atmosphère.

À la fin de les deux sommets on présentera un document final avec les propositions et les compromis qui sera livré à la Conférence des Nations Unies sur le Changement Climatique, qui sera effectué de du 29 novembre à au 10 décembre à Cancún.

Source: EFE


Des maires mise sur l´innovation technologique pour stimuler le marché du travail

Dans l´atelier « Travailler dans la Ville » qui a été développé dans le cadre du troisième congrès de CGLU, des autorités locaux des différentes régions du monde, ont coïncidé que stimuler l´innovation technologique est une mesure clef pour promouvoir la génération de plus et meilleurs emplois dans les Communautés autour du monde.

À le Musée Interactif d´Économie, les maires réunis ont discuté sur les difficultés à auxquelles les villes font face devant le manque d´occasions d´emploi et ont conclu qu´il est nécessaire de produire un changement de paradigme sur les actuels marchés du travail pour garantir des meilleures conditions de vie.

L´atelier « Travailler dans la Ville »  a fait partie de la série de discussions  « La Ville du 2030 ». Les rapporteurs aient débattu sur les conditions qu´auront les travailleurs dans les villes dans 20 années, quel sorte d´emplois puissent être offerts et dans quelles économies.

Ils ont remarqué que dans cet aspect on doit être « futurist », parce que l´innovation technologique avance à un rythme accéléré, « il y a 20 ans nous n´imaginions pas l´impact de l´´Internet ou la téléphonie multimédia, nous devons miser sur la qualification dans ces endroits », ils ont souligné.

Michel Destot, Maire de la ville française de Grenoble, a indiqué que 50 pour cent de la population mondiale vivre actuellement dans des grand villes et que la tendance indique que dans le 2050 ce pour cent s´élèvera à 70, ceci, a expliqué, il est du au fait que les gens émigrent aux villes en cherchant de la santé, de la qualification et du travail.

Toutefois, il a dit, offrir ces opportunités il est chaque fois plus difficile, un exemple de cela est l´accroissement de l´emploi informel dans les grandes villes. Sur le particulier, William Cobbett, directeur de l´association mondiale Cities Alliance, a indiqué que la solution à l´informalité sur le marché du travail n´est pas dans son éradication mais en « analyser comment nous pouvons porter le pouvoir de l´informalité à l´économie formel »

Ibone Bengoetxea, le lieutenant de Maire de Bilbao, a souligné que la base pour obtenir le développement des villes en matière d´emploi est en miser sur la créativité et la connaissance et en « se transformer en  une ville intelligente », ceci, a ajouté, signifie de se profiter des divers talents de la population « non seulement donner occasion à des personnes avec des études supérieures, mais aussi promouvoir l´apprentissage d´offices, nous devons traiter de recueillir tous ces talents, les retenir dans des groupes ou des entreprises qui nous aident à être les villes que nous voulons devenir » , il a affirmé.

Cassam Uteem, ex président du Maurice, a coïncidé avec la position de créer des politiques publiques inclusifs  parce que des études récentes suggèrent que les pays qu´incluent aux gens dans la dynamique de leurs économies obtiennent un plus grand développement que ceux que non, c´est-à-dire, « le futur de nos villes et de nos peuples va dépendre de comment nous allons traiter aux secteurs les plus faibles de la communauté » il a soutenu.

Finalement, Claudio Arriagada, maire de La Granja, le Chili, a remarqué que le marché ne résolut pas tout mais ils sont les états nationaux ceux qui doivent produire des politiques publiques en matière de travail et des codes de travail qui protègent aux employés, ainsi que des politiques publiques qui permettent de produire des investissements public-privés qui protègent les richesses de chaque ville.

Les rapporteurs ont conclu que même si les caractéristiques de chaque ville varient largement, est une obligation commune de concevoir des politiques consistantes qui permettent les conditions adéquates pour que tout le monde ait une occasion d´amélioration, « il n´y a pas de solutions magiques, mais nous devons analyser ce qui fonctionne et ce que ne fonctionne pas dans chacun de nos villes, et des espaces comme celui-ci, nous permettent de transformer nos différences en apprentissage » , ils ont conclu.

Source: Comunicación Social D.F.


Commence à la Ville de Mexico l’IIIème Congrès Mondial de CGLU

Les Dirigeants Locaux et Régionaux du monde sont attendus pour l´ouverture du troisième Congrès de CGLU à Mexico du 17 au 20 novembre 2010, premier Sommet Mondial des Dirigeants Locaux et Régionaux, à l´invitation du Maire de Mexico, Marcelo Ebrard Casaubon.

Des personnalités internationales de premier plan interviendront : le Dr. Rajendra K. Pachauri, Prix Nobel de la Paix 2007 et Président du Groupe d´Experts Intergouvernemental sur l´Evolution du Climat, et Joan Clos, Directeur Exécutif d´ONU-Habitat ont notamment confirmé leur présence.

Parmi les orateurs également, le Président de Cités et Gouvernements Locaux Unis et maire de Paris, Bertrand Delanoë, les Co-Présidents de CGLU, maires de Guangzhou, Istanbul, Johannesburg et Quito, ainsi que les maires de villes qui comptent pour l´avenir du monde : Los Angeles, Mumbai, Séoul, Lisbonne, Harare, San José de Costa Rica, Madrid, Montréal, Bamako, Dakar, Rabat, Casablanca, Genève, Stuttgart, Cologne, Fortaleza, Manaus, Lyon, Nantes, Getafe, pour ne citer que certaines d´entre elles.

Pendant trois jours de débats et d´échanges intenses, de nombreux représentants de villes, régions et associations de gouvernements locaux aborderont des thématiques essentielles pour les villes, les régions et leurs populations : les crises mondiales et leurs conséquences locales, les facettes de la ville pour 2030, la place des villes et des régions dans la gouvernance du monde. Ainsi sera-t-il question d´apporter des réponses, entre autres, à la nécessité de stimuler les économies locales dans un contexte difficile, de renforcer les citoyennetés des villes, de lutter contre l´exclusion sociale, ou encore de donner une meilleure place aux femmes dans la gouvernance locale.

Ce premier Sommet Mondial des Dirigeants Locaux et Régionaux sera l´occasion pour ses participants d´adopter un Manifeste pour la Ville de 2030, et ainsi adresser à la communauté internationale leurs recommandations pour une ville à la hauteur des défis du monde de demain.

Troisième Congrès de CGLU, le Sommet représente également un nouveau départ pour l´organisation mondiale fondée en 2004, qui élira à l´issue du Congrès une présidence renouvelée, et adoptera pour les trois années à venir son cadre d´action et de nouvelles priorités.

Lors du Sommet des Maires sur le Changement Climatique qui se tiendra le 21 novembre, les villes signeront enfin le Pacte de Mexico, un ensemble d´engagements et d´objectifs concrets dans la lutte contre le dérèglement climatique.


Réunion de la Commission à Mexico

Du 17 au 20 novembre aura lieu dans la Ville du Mexico, le III Congrès Mondial de CGLU.

Depuis la Présidence de la Commission, nous croyons que cette rencontre représente une bonne chance pour que les membres nous nous rencontrons d´une manière pas très formelle et discutons sur le futur de la Commission en tenant compte le prochaine renouvellement du mandat de la Commission pour la période 2011-2013. La réunion aura lieu le 17 novembre à 12 :30 et le lieu de rencontre sera le Hall de l´Hôtel Hilton Reforma Mexico. La réunion est ouverte à tous mais nous apprécierons si vous confirmiez dans les meilleurs délais votre participation en envoyant un courriel au Secrétariat de la Commission : bilbaonext.promocion@ayto.bilbao.net

Agenda de la réunion